“J’affirme pendant la période où le chlordécone était interdit l’avoir mis dans les avec d’autres produits”, raconte un ouvrier agricole dans un témoignage écrit. L’identité de cet homme a été masquée dans les documents remis à la presse. Il cite notamment le Curlone, l’un des noms commerciaux de la molécule organo-chlorée.
Ce témoin, comme d’autres, explique : “j’avais demandé qu’on soit équipé pour semer ces produits mais c’était très difficile, parfois nous étions obligés d’acheter nos gants et bottes avec notre argent”.
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